" I am The Doctor. " " Doctor who ? " " Doctor Alois Tyler. ". [Terminé. Enfin. XD]

feat David Tennant.

● Nom: Tyler. ● Prénom: Alois. ● Date de Naissance :15 février 1974. ● Nationalité: Anglaise. ● Groupe: Tau'ri. ● Spécialité et/ou Grade: Corps Médical.

QUI SUIS-JE ?

● Caractère:

Alois Tyler… Que pouvons-nous dire de lui ? Cet homme est quelqu’un d‘excentrique. Lui, introverti ? Jamais ! Il aime bien trop rire et s’émerveiller de tout et de rien. Ce docteur semble découvrir et redécouvrir le monde chaque jour, avec des yeux nouveaux. Très expressif, il ne rate pas une seule occasion de montrer son point de vue ou tout simplement de se mettre à parler. Il déteste le silence. Il aime le bruit, les sons insupportables qui pourraient vous rendre fous, les petits cliquetis qui nous feraient tiquer. Il les adore. Il se sent vivant à chaque fois qu’il les entend. Une façon pour lui de rester les pieds sur terre et de ne pas perdre la tête. Oui, parler ; passer d’un sujet à un autre – comme l’on dit ; passer du coq à l’âne -, faire du néologisme ou encore ‘arpenter sur la voie des onomatopées. Chaque parole est la bienvenue pour lui. Peut-être un moyen de se sortir de cette solitude qui le bouffe de l’intérieur. Il ne supporte pas la solitude au même prix que le mutisme incessant de l’espace. Son élément ; la foule. Il pourrait passer des heures à observer les gens parler et s’exprimer de façon tout à fait différente. Une façon de l’éblouir. Comme la connaissance. Chaque nouvelle chose apprise lui procure une sensation de sérénité mais aussi d’extase à l’état pur. On a beau savoir tout un tas de choses, tout reste encore à découvrir, et le fait de savoir que l’univers reste encore à être découvert le rend encore plus humble qu’il ne l’est déjà. Très à l’écoute des autres, il est prêt à aider mais aussi à dévoiler des mystères dont il a la clef. Cependant, malgré cette philanthropie apparente se cache quelqu’un de blessé, de susceptible et d’assez hautain. Humble et hautain à la fois. Quel paradoxe pour cet homme… Mais cela reste pourtant vrai ; peut-être le résultat d’un trop plein d’étalage de connaissances, qui sait ? Susceptible ? Oui. Lui faire remarquer qu’il a fait une erreur, qu’il a tord ? N’y songez pas. Il fera en sorte de vous prouver le contraire et sa susceptibilité se transformera en volonté de convertir l’autre à son concept. Buté, têtu et bougon. Peu colérique par contre, il sait garder son sang-froid dans toutes les situations et même lorsqu’il sent que ses émotions sont prêtes à prendre le dessus dans une situation dangereuse, il fera en sorte de se contenir au maximum. Mélangez tout cela et vous obtiendrez Alois Tyler ; un Docteur efficace dans son travail et dans les relations humains. Mais sachez qu’il vaut mieux le mettre dans sa poche comme on dit… Au risque d’obtenir à la place d’un ami, un ennemi juré…



● Physique:

On ne peut pas dire que Alois soit du genre tape à l’œil ; Très maigre et assez grand, ce n’est pas le genre de beau gosse que l’on voit tourner dans les clips américains. Peu musclé, il ne serait même pas capable de se défendre à mains nues, même s’il est capable de tirer avec n’importe quelle arme – sa préférée étant le Spas 12 -. Ses épaules ne sont pas très larges et il possède un cou fin. Un corps maigre, osseux, plutôt pratiques pour travailler en laboratoire et au contact des autres. Comme il ne ressemble pas à une grosse brute épaisse, les personnes ont tendance à plus lui accorder leur confiance, ce qui est plutôt un bon point pour un médecin.
En ce qui concerne son visage, il s’accorde parfaitement avec le reste de son corps : des pommettes creuses et les os saillants, un menton bien visible ainsi que l’angle de sa mâchoire. Des traits fins proportionnels avec ce corps qui se moue dans tous les sens. On peut remarquer aussi quelques traits qui ont su l’accompagner dans chacune de ses émotions, dans chacun de ses gestes, notamment celui du sourire et des rires ; quelques petites fossettes se creusent au coin de ses lèvres, de toutes petites rides au coin des yeux lorsqu’il rit aux éclats. Mais ce ne sont pas les seuls traits qui caractérisent sa personnalité ; il faut dire que cet homme s’interroge souvent, d’où un petit levé de sourcil de temps à autre ou même quelques froncements de sourcils pour témoigner son questionnement, ce qui lui vaut quelques petits plis au niveau du front. Ses yeux noisettes, toujours brillants d’émerveillement et emplis de malice, lui vaut souvent quelques insultes car l’on croit toujours que son regard se veut narquois et ironique.
Des cheveux plutôt courts, rarement coiffés ou en bataille, d’un brun commun, des petites pattes qui descendent un peu plus haut que l’angle de sa mâchoire, un regard châtaigne et des petites lèvres, vous obtiendrez ainsi un homme banal qui se soucie tout de même un minimum de son image ; son corps souvent vêtu d’un costume d’origine britannique, il est rare de le voir sans une longue veste s’accordant parfaitement avec le reste de ses vêtements. Sa penderie est remplie de manteau de toutes coupes et de toutes les couleurs, même s’il préfère la sobriété ; noir, gris ou marron. Il se permet de mettre une cravate, disposant de tout un arsenal assez loufoque. Rares sont les fois où vous pourrez le voir avec sa blouse blanche de médecin. Il ne la supporte pas. Cela fait trop « kitsch », trop stéréotypée. Par contre, il garde toujours sur lui sa paire de lunettes noires, un stylo Bic et son stéthoscope. Qui a dit qu’il n’aimait pas le stéréotype ?

QU'AIS-JE FAIT

● Histoire:

Beaucoup d’histoires commencent dès la naissance. Un beau bambin voit le jour dans une clinique, auprès de ses parents qui l’accueil comme la septième merveille du monde. Beaucoup d’histoires continuent ensuite avec une maison, un chien, des frères ou des sœurs ou encore juste le petit bambin qui grandit et va à l’école. Beaucoup d’histoires deviennent de merveilleuses et fantastiques histoires faites de poussières d’étoiles mortes et d’air irrespirable. Qui aurait pu croire, Alois aurait-il pu croire, que son histoire aurait fait partie de ces histoires-là ? Quoi que l’histoire d’Alois n’est pas entièrement merveilleuse et fantastique. Comme la plupart des histoires, elle comporte aussi sa part de peine, de sanglots et de peur.

Cette histoire, nous ne pouvons la commencer comme toutes les autres. Étant un homme tout à fait ordinaire, sa vie fut tout à fait banale. Comme dit plus haut, des parents plutôt aimants, même si souvent peu présents, un labrador crème, une grande maison avec jardin en banlieue londonienne, de bons résultats pour ensuite terminer à Oxford, entamant ainsi ses années de médecine. On ne peut pas dire d’un être que sa vie débute au moment même où il voit le jour, en sortant du ventre de sa mère, non, pas toutes les vies commencent de cette manière. Celle d’Alois commence réellement lorsqu’il posa son pied sur les dalles d’Oxford. D’une nature toujours enjouée, il n’avait cessé de vivre au contact des autres, d’apprendre et de s’émerveiller. Mais s’émerveiller pour quoi, pour qui ? C’est méfiant qu’il franchit le hall d’entrée de la grande et prestigieuse Université. Plutôt empli d’appréhension. Qu’allait-il découvrir ici ? Qu’allait-il apprendre de plus ? Les premiers jours de cours furent tout ce qu’il y a de plus ordinaires. Oh, il ne s’ennuyait pas, il ne s’ennuyait jamais, mais tout cela était tellement prévisible… Un jour, il décida de sécher un cours magistral. C’était la première fois qu’il ratait un cours de sa vie. Le sourire aux lèvres, il partit vers le Bibliothèque Universitaire. Quoi de plus beau de sécher un cours pour retrouver son livre préféré ; l’Odyssée de Homère. Il la chercha en grecque, en français puis en anglais. Il passa son après-midi à lire ce merveilleux ouvrage dans trois langues différentes. Alors qu’il croyait vivre à travers ce livre, c’est alors qu’elle s’assit en face de lui. Des cheveux couleur feu. Des yeux qui auraient pu faire pâlir Poséidon lui-même. Alois baissa progressivement son livre pour l’observer. Dès lors, il sut qu’elle lui appartiendrait. Une approche maladroite, quelques blagues pour détendre l’atmosphère et il apprit très vite qu’elle faisait des études d’archéologie et que son livre préféré était l’Odyssée. Un premier rendez-vous, quelque chose d’officiel ; un café, du blabla pour apprendre à se connaitre, des sourires gênés et des regards en coin. Un second rendez-vous, le soir cette fois, un diner qu’il lui paya en bonne et due forme, il la raccompagna chez elle et ils firent l’amour toute la nuit.

Dès l’obtention de leur licence, pour fêter cela, ils se marièrent. Tout deux continuèrent leurs études.

Ils étaient mariés et bientôt, ils obtiendraient leur Doctorat respectif. N’ayant pris de vacances ou quoi que ce soit s’apparentant à une Lune de Miel, ils partirent pour Kobe, à la découverte du Pays du Soleil Levant. Dans l’avion, elle lui annonça la plus belle nouvelle du monde ; dans moins de six moins, il serait père. Fêter leur diplôme, fêter leurs noces, fêter leur paternité. Tout cela à Kobe. C’était magnifique. Magnifique. Dès qu’ils foulèrent le sol japonais, Alois ne tenait plus en place ; il l’emmena dans toutes les boutiques, dans tous les restaurants et places touristiques de la ville.

Mais toutes les histoires possèdent son lot de malheur. Alors qu’ils faisaient leurs valises pour rentrer en Angleterre, la ville déclencha l’alerte séisme. En occident, nous ne sommes pas confrontés à ce genre de situation. Chamboulés, ne sachant quoi faire, ils s’assirent l’un contre l’autre sous une table. Mais le bâtiment céda. Peu de personnes survécurent au tremblement de terre.

Après le recensement des personnes mortes, Alois rentra en Angleterre. Seul. Sans pouvoir emporter le corps de sa défunte épouse, perdue à jamais sous les décombres.

Longtemps traumatisé, ayant perdu sa joie de vivre, il reçu un jour l’appel d’un ami qui voulait l’embarquer pour un plan militaire. Alois refusa l’offre, ne se comptant plus comme un membre du corps médical. Les semaines passèrent et il finit par lentement se redresser, se relever. Il fit d’abord un peu de sport, puis se remit à mieux s’alimenter. Il se remit à sortir, s’asseyant sur un banc et regarda les passants comme il avait l’habitude de le faire étant enfant. Il avait enfin compris ; son deuil était terminé. Il devait avancer, pour elle, pour eux.

Par chance, il avait noté les coordonnées du soit disant plan militaire. Un coup de téléphone, un simple coup de téléphone qui peut changer votre vie à jamais. La traversée de l’Atlantique. Un petit rendez-vous avec son CV. Un très bon CV. Obtention d’un doctorat en médecine, thèse sur la médecine traditionnelle coréenne, parlant couramment anglais et français, avec quelques bases en allemand et coréen, sachant lire le grecque et le latin… Son cas intéressa le SGC.

C’était le matin aux États-Unis. Alors qu’il faisait nuit à Londres. Alois déglutit, son sac à la main, sa veste posée sur son épaule. Un sourire traversa ses lèvres. Il n’était plus question de se morfondre. La vie était remplie de poussière d’étoile et de couleurs terrifiantes. Après son rendez-vous, il avait entendu que des équipes explorées d’autres univers. Étaient-ce de simples histoires ou était-ce la réalité ? Il avança fièrement jusqu’aux grilles, les grilles que les soldats lui ouvrirent après qu’il ait tendu son badge.

« - Allons-y ! », dit-il à un soldat en français en le pointant du doigt.

Il n’avait qu’une hâte ; découvrir la planète Terre sous tous ses angles.


● Précisions:

- Il parle couramment français et anglais, ainsi que le latin et le grecque. Mais ça, c'est une autre affaire...
- Marié une seule fois en 36 ans, rares furent les fois où il apprécia la compagnie d'autres femmes. Malgré cela, il espère retomber amoureux, ne perdant jamais espoir !
- Ce Docteur est loufoque. Il est excentrique. Âmes sensibles s'abstenir.
- Il adore les blagues des carambars. Parce que quand y en a marre, y a malabar !

DERRIÈRE L'ECRAN.

● Pseudo&Age: Alan , 17 ans !
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Par ses créatrices !

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